Pourquoi faire des sports extrêmes ?

Les sports extrêmes se subdivisent en différentes catégories. Pour les pratiquants de ces disciplines de haut niveau, l’exposition à de très grands risques fait partie du quotidien. La pratique de ces exercices dangereux est motivée par les belles sensations de montées d’adrénaline. D’autres hormones, telles que la sérotonine et la dopamine entrent également en jeu.

En quoi consistent les sports extrêmes ?

Dans les sports extrêmes, comme le saut en parachute, les pratiquants éprouvent de belles sensations. Ils se tiennent debout devant le vide avant de se lancer. Les sentiments comme la peur et l’assurance se mêlent. Les décisions prises sont toujours précédées de remises en question plus ou moins farfelues. Les individus adeptes de ces disciplines ont souvent des traits de casse-cou. Les positions varient : retenu par l’arrière ou poussé vers l’avant, sur des skis ou en haut d’une falaise, etc.

Les effets sur le système nerveux

Des phases se déclenchent dans le système nerveux lors des pratiques de sports extrêmes. La première d’entre elles se caractérise par la peur et le stress. Cela se ressent surtout lors des escalades de falaise et l’exposition face au vide. La partie émotionnelle du cerveau ou le système limbique se déclenche. L’adrénaline est déversée dans le sang et provoque l’état d’alerte du corps. La seconde phase se traduit par la sensation de confiance des sportifs, caractérisée par le calme et la paix en soi même. En dernier lieu, la dopamine est sécrétée, équivalant à la sensation de récompense.

La satisfaction engendrée par l’accomplissement d’un exploit

S’exposer aux risques ne constitue pas le véritable but en termes de sports extrêmes. Cela se résume uniquement dans le seul but d’éprouver de la satisfaction et des sensations. Pour les mordus de ces disciplines, ces exploits sont devenus des besoins à satisfaire, tout comme le fait de se nourrir ou de boire. Tout le monde présente ces mêmes envies, mais le degré varie d’un individu à un autre. Ces besoins se ressentaient déjà durant la Préhistoire, notamment par la chasse du mammouth à coups de pierres, dans le but de se procurer à manger.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.