L’or, ce métal précieux pour notre santé

En parant de bijoux en or, on resplendit. C’est aussi vrai au sens figuré. Grâce à l’or surtout pour ses vertus antioxydantes, on rayonne aussi de beauté. En plus de ce bienfait, les chercheurs font appel à ce métal pour lutter contre le cancer.

L’or, un anti-âge et un régénérateur cellulaire par excellence

gold-nugget-626088_1280Du remède de nos grand-mères à la médecine chinoise, l’or est utilisé depuis toujours. L’industrie cosmétique ne serait pas également insensible aux vertus de ce matériau. En effet, il s’avère que l’or est un antioxydant très puissant et un régénérateur cellulaire hors du commun. Pour que les cellules puissent bénéficier de cette source de jouvence, les chercheurs l’ont introduit dans les produits de soins sous forme d’eau colloïdale. Les sérums, bases de teint… enrichi à l’or pur garantissent un teint éclatant et ralentissent le vieillissement des fibres de collagène et d’élastine.

L’or, un stimulant et un antistress

Les médecines naturelles notamment l’homéopathie et l’oligothérapie ont expérimenté sur la santé, les vertus de ce luxueux métal. Lorsqu’on le prend sous forme d’oligoélément, l’or stimule l’adaptation et le mécanisme de défense de l’organisme face aux perturbations du système immunitaire. C’est ainsi qu’il renforce l’immunité et contribue à lutter contre le stress après un choc physique ou psychique. Anti-inflammatoires, anti-fatigue et antidépresseurs, les principes actifs de l’or demeurent encore peu connus.

L’or, le nouveau filon en oncologie

Quand les nanosciences s’intéressent à l’or, les propriétés du précieux métal donnent de perspectives prometteuses pour lutter contre le cancer. Les scientifiques utilisent les nanoparticules d’or pour localiser et tuer les cellules malades. Cette détection se fait avec précision, car l’or se fixe sur la cellule cancéreuse et il est rapidement repérable aux rayons X. L’utilisation de l’or permet alors un diagnostic précoce du cancer, bien avant donc la formation des nodules. L’avancée de la recherche favoriserait la découverte du traitement pour guérir le cancer en exploitant deux axes de recherche : la photodermie et la vectorisation.

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